Historique
L’UJA Maccabi Paris Métropole est née en juin 2012 de la fusion de l’UJA Alfortville, club évoluant en championnat de CFA et de la section football du Sporting Club Maccabi de Paris, qui évoluait en championnat de DSR.
Cette fusion est d’abord un projet humain. Elle est née de la volonté d’unir leurs compétences de deux Présidents, Gilles Baudu et Pascal Laloux, qui partagent le même regard sur le football et entretenaient des relations très proches depuis de nombreuses années.
La vocation du nouveau club est la solidarité culturelle et sociale, déjà largement ancrée dans l’histoire des deux clubs que les fondateurs présidaient. Une histoire particulièrement forte car l’UJA Alfortville a été créée en 1926 et le SC Maccabi de Paris en 1947.
Le bureau directeur du nouveau club, désormais présidé par Pascal Laloux, regroupe à parité tous les principaux dirigeants des 2 clubs fondateurs. L’UJA Maccabi Métropole s’attache à préserver les grandes caractéristiques des deux clubs pour que chacun des nouveaux adhérents puisse y retrouver les repères qui guidaient son engagement à l’UJA Alfortville ou au SC Maccabi de Paris.
Ainsi le Siège social du club a été maintenu à Alfortville et reste un point de rendez-vous essentiel. Beaucoup d’équipes – dont l’équipe première – continuent à évoluer et à s’entraîner au Parc Interdépartemental des Sports de Créteil.
L’identité Val de Marnaise du club de l’UJA Alfortville est donc préservée. Tout comme l’identité parisienne du SC Maccabi de Paris, avec notamment un siège annexe à Paris 12ème, ses installations principales du stade Paul Valery et son école de football qui accueille plusieurs centaines de jeunes parisiens.
Cette union des bases val de marnaise et parisienne, très proches géographiquement et relevant du même district de la Ligue de Paris Ile de France de Football, se veut également un symbole du développement métropolitain. L’intégration de Paris Métropole dans le nom du club en est l’illustration logique. Le syndicat mixte compte en effet parmi ses membres toutes les collectivités concernées, notamment la ville de Paris, la ville d’Alfortville et le Conseil général du Val de Marne.